Archives mensuelles : octobre 2015

Boa Vista

Nous sommes à Boa Vista, dernière ville au nord du Brésil.
Le Vénézuela est à 200 km au nord et nous pourrions y être ce soir ….
Mais nous attendons les nouvelles car hier, la police nous a dit que la route était bloquée . Les indigènes l’ont bloquée à la frontière, et les taxis mécontents de perdre leurs courses vers le Vénézuela, bloquent cette même route à la sortie de Boa Vista.
Nous sommes en stand by.

De Belem à Manaus

Lundi  matin 19 octobre, nous organisons notre départ pour Manaus. La journée étant libre, nous partons visiter Belem. Porte d’entrée vers l’Amazonie, elle est tout de même à 130 km de l’océan. Et pourtant, nous constatons les marées jusqu’ici …

Belem
Belem
Trompe l'oeil
Trompe l’oeil
Centre historique
Centre historique

Nous visitons à pied le centre historique. Il reste de nombreuses maisons coloniales mais en piteux état. Nous trouvons aux étals du marché de nombreux fruits exotiques et irons au Marché Ver O Peso, halles recouvertes de zinc et de 4 tours polygonales. Il fut construit par un disciple d’Eiffel.  Un petit tour vers le théâtre, copie de l’opéra Garnier mais fermé le lundi ….

La halle aux poissons Ver O Peso

La halle aux poissons Ver O Peso

06-crevettes salées 05-produits salés et fumés 04-goyaves et --- 03-marché aux fruits

En conclusion, ville pas désagréable, assez décontractée.

 

Mardi, c’est l’attente. La barge sur laquelle nous allons voyager mesure 120 m par 30 m et peut embarquer 60 semi-remorques sans tracteur. Elle est mue par un pousseur qui va consommer  20 000 litres de fuel jusqu’à Manaus. Le chargement va prendre 8 heures. Le responsable du site nous explique qu’une dizaine de ces remorques sont vides car elles reviendront chargées de téléviseurs, micro-ondes, etc …. En effet, Manaus est en zone franche pour devenir le plus grand site industriel du pays.

JL surveille
JL surveille
Déchergement d'une barge
Déchargement d’une barge

 

JOURNAL DE BORD sur la barge ralliant Belem à Manaus :

 Jour 1 : Nous n’embarquons qu’à 20 heures, en dernier mais cela nous a permis d’être  aux premières loges, à l’avant et au milieu. On fête ce début de « croisière » avec de bonnes tripes à la provençale puis on va se coucher …. Une demie heure plus tard, on nous réveille et on nous demande de reculer pour laisser entrer une dernière remorque. Ha non, pas ça !!!!

L'attente pour embarquer
L’attente pour embarquer
La barge se remplit
La barge se remplit
On y est enfin
On y est enfin

 

On décide de descendre le 4X4 de la barge, laisser monter la remorque et nous réinstaller après.

On se couchera vers minuit ….

 Jour 2 :

Le départ a lieu à 1 heure du matin, à marée haute. Et là, le bonheur ! on glisse sur l’eau sans un bruit si ce n’est le léger clapotis de l’eau et le bruit du vent. On n‘entend pas les moteurs très puissants du pousseur car il est 120 m derrière.

06-bus fluvial

05-petit village

Notre campement
Notre campement

Le matin, vers 7 heures, les 6 passagers que nous sommes sont invités au petit déjeuner. Hé oui, comme en croisière, on mange à la table du capitaine ….. mais à côté des moteurs dans un bruit infernal….. on fait aussi la lessive, utilisant le seau pliable que François nous a offert pour puiser l’eau, que l’on fait sécher sur notre corde tendue entre les châssis des camions. On a bien sûr tendu la bâche, enfin le campement est installé.

Au GPS, on avance à 12 km/h.

A 11h30, c’est l’heure du déjeuner. Dans la cuisine/salle à manger avec porte fermée et climatisation, on oublie le bruit des moteurs ….. De toutes façons, à 11h45 on est de retour chez nous où l’on termine avec fruits et café.

09-à table

JL puise l'eau, pas facile
JL puise l’eau, pas facile

Il commence à faire très très chaud, on va monter à 53° au soleil,39° dans la cellule. On passe sous la douche tout habillés et on se fait une grosse sieste.

Le dîner est à 17h30 …. Pourquoi si tôt ? parce que la nuit tombe à 18 h et que pour passer de la barge au pousseur, c’est un peu gymkana …. On enjambe de gros câbles d’acier, on doit franchir un espace d’environ 50 cm en passant d’une échelle à l’autre, enfin, c’est le sport de la journée …. Et il faut être de retour avant la nuit …. On mange les restes de midi et j’ai peur qu’il n’en reste pour demain, quoique ce fût fort bon. Au fait, chacun fait sa vaisselle avant de partir.

Passage sur le pousseur
Passage sur le pousseur

11-coucher soleil

 Jour 3 :

On prend nos marques. Notre campement fait maintenant environ 40m2 et on a orienté  le véhicule pour que le vent entre mieux dans la voiture. Nous avons un grand balcon mais, sans rambarde.

12-le matin

Le matin, on peut rester chez nous. On est à l’ombre, il y a de l’air et la lumière est bonne pour les photos. Maisons sur pilotis, pêcheurs , petits villages, autre barges …

14-pêcheur 16-maison 17-on est en basses eaux

Pour l’après-midi, il vaut mieux aller à l’arrière, à l’ombre des grosses remorques qui ont gardé encore un peu de fraîcheur de la nuit. En plus, on est à côté de la douche du pousseur, ce qui n’est pas négligeable.

Je surveille le trajet
Je surveille le trajet
Seul espace pour marcher
Seul espace pour marcher
La sieste  à l'ombre
La sieste à l’ombre

Au petit déjeuner, on a assisté à la préparation de la Fejoada. Un ragoût de viande salée ou fumée avec des haricots noirs. On a la recette !

Ce matin, une jeune femme est entée dans la cantina …. d’où vient-elle ?…. elle a fait la bise au cuisinier, c’est donc un auxiliaire de l’équipage …

On entend déjà moins le bruit de moteur …..

 

On a vu notre premier dauphin mais brièvement … j’espère mieux.

 Nous sommes dans un bras de l’Amazone relativement étroit ( de la taille du Rhin) et la nuit, le capitaine utilise un  projecteur balayant d’une rive à l’autre  pour bien  positionner la barge dans les méandres. Il nous a envoyé le cuisinier pour nous demander d’éteindre la lumière de la cellule qui le gênait. 

Passage étroit
Passage étroit

Jour 4 :

Une barque de pêcheur s’est amarrée au pousseur. Un membre d’équipage lui a acheté des poissons. Serait-ce pour nous ? Le cuisinier va acheter plusieurs fois poissons et crevettes aux canoës qui s’amarrent … la dernière « pêcheuse » était bien sexy : petit short et chapeau de cowboy … il fallait la voir grimper sur le bateau …d’ailleurs, il y avait pas mal de mecs dehors, en plein soleil … JL vous racontera … et en plus, c’est une femme d’affaires : elle a échangé son poisson contre un bidon d’essence

La famille apporte les crevettes
La famille apporte les crevettes

Le fleuve s’élargit par moment, jusqu’à 8  kilomètres aujourd’hui. Le capitaine serre une rive au plus près, afin d’avoir moins de courant contraire, quand il le peut. Sinon, notre vitesse chute de 2 km/h

Après les petites maisons isolées sur pilotis, on a vu deux petites villes au loin ainsi que des zones déboisées où paissent buffles et vaches, voire des chevaux.

26-changement de paysage

Nous avons entrepris un grand nettoyage intérieur de la cellule. Après un mois et demi de voyage, elle en avait besoin. On peut travailler jusque vers 9 heures, après il fait trop chaud …

Notre beau seau pliable est au fond de l’Amazone, snif …. l’anse a lâché …. Guy, François, le trésor a été déposé au  : S 1° 55,372’ W 53° 41,813’

C’est ma petite poubelle qui a été élevée au rang de seau …..

 

Quelques chiffres : l’Amazone est le plus grand fleuve du monde avec ses 6570 km de long, navigable sur 1600 km il charrie 20% des eaux douces du monde. Son embouchure est large de 350 km et son débit est de 200  000 m3/s, de quoi recouvrir  Paris sous un mètre d’eau en 10 minutes ….

25-fonction des essuie-glace des camions

 Jour 5 :

Tempête sur l’Amazone !!!!

La nuit dernière a été bien agitée. Un très fort vent de côté  s’est levé et on a commencé à voir des éclairs. Jean-Louis s’est levé pour rentrer tout ce qui pouvait s’envoler, fermer les fenêtres du véhicule, …. L’attente fut brève, l’orage était là et une pluie torrentielle s’est abattue sur nous. Que l’on est bien dans ce cas là, couchés bien au sec dans l’Azalai, avec vue sur le fleuve et le rivage grâce à la pleine lune …. le rivage, mais il me paraît bien près ! et on ne bouge plus !! le capitaine s’est peut-être mis à l’abri des vents violents ? ….. On s’endort bien au frais, en toute confiance. La température est tombée à 26°, le bonheur après la canicule des jours derniers.

Au matin, réponse à nos questions : les bites d’amarrage avant et arrière à tribord sont couvertes de terre !!!! dans la nuit, nous avons bien heurté par deux fois le rivage, poussés par les vents nous raconte le capitaine mais aussi durant la manœuvre pour se désenliser ….

Bon, allons déjeuner. Pendant que nous nous dirigeons à l’arrière, un gros clong sous nos pieds … un peu comme dans les films qui se déroulent dans des sous-marins … quel silence en arrivant au pousseur … hé oui, nous sommes posés ….. les puissants moteurs et l’habileté du capitaine nous permettrons bien sûr de reprendre notre progression.

27-boue embarquée

 

Nous participons à tous les repas à la grande satisfaction du cuisinier. Il faut que nous goûtions à tout et il nous regarde manger, attendant  notre approbation. Il nous présente les ingrédients avec forces explications, y compris le gros poisson qu’il allait cuisiner, genre turbot. On a de la chance, la cuisine est variée et bonne.

Le cuisinier
Le cuisinier

Mais le soir, au souper, vers 20h, après avoir assisté religieusement au coucher de soleil, il nous faut rééquilibrer notre alimentation  quotidienne : un bon apéritif alcoolisé, des légumes crus, yaourts ( il n’y en a plus, snif …) ou fromage et fruits. On est prêt pour la nuit et, vous ne le croirez peut-être pas mais on arrive toujours à dormir 9 heures par nuit ….

 

Jour 6 :

On approche, il reste moins un jour de navigation. Le fleuve s’est bien élargi, parfois on devine juste l’autre rive qui doit être éloignée d’environ 17 km …. Il y a aussi un petit peu plus de trafic.

On a passé plusieurs petites villes qui vivent de l’exploitation de la mine ; de gros cargos viennent charger le fer, la bauxite ou le manganèse du sous-sol. Les rives ont parfois été déboisées pour permettre l’implantation de petites exploitations agricoles, et l’on peut voir l’érosion provoquée par ce grand fleuve.

Transport
Transport

On vient de s’arrêter, c’est bien long. On croit d’abord que c’est un bateau épicerie …. mais il s’avère finalement que notre équipage est en train de leur faire le plein.

 32- une visite

Jour 7 :

La nuit dernière, il y avait du brouillard, ou serait-ce de la fumée ? il y avait aussi une odeur de brûlé ….

On est passé près d’un grand complexe industriel. De grosses citernes, des pans inclinés pour les barges, des quais près à recevoir ou expédier des hydrocarbures …. Il s’en dégageait une forte chaleur et une odeur nauséabonde.

 

Notre arrivée à Manaus est prévue pour 14 heures.

 

On est bien arrivés à 14 heures heure de Belem, donc à 13 heures à Manaus.

Malheureusement, on doit attendre, problème informatique pour obtenir notre bon de sortie du port !!! c’est la meilleure !

1500 km sur l’Amazone

Nous sommes à Belem, au bord d’un bras de l’Amazone, dans la zone portuaire réservée aux barges fluviales.

Nous partons mardi ou mercredi, pour une durée de voyage de 6 jours, remontant le fleuve sur 1500 km, mais nous pouvons dormir sur place (et même se baigner …)

Nous avons stocké eau et nourriture pour une autonomie de 6 jours. Les camions et leurs chauffeurs commencent à arriver.

En attendant nous allons visiter Belem et ne pourrons plus envoyer de nouvelles avant une huitaine.

On vous embrasse

Serra de Capivara

Comme je l’annonçais précédemment, ce sont beaucoup de kilomètres qui nous attendent sans grand intérêt touristique. Imaginez une ligne droite reliant Brasilia et un point en bord d’océan au nord de Fortaleza. Cela fait à vol d’oiseau 1800 km …..

Tout d’abord une bonne route traversant pendant 550 km une zone agricole couverte de grands champs de blé et de coton, nous sommes sur un plateau à environ 500 m d’altitude. Et il fait très chaud, surtout le soir au bivouac.

Champs de coton
Champs de coton

Quelques cent km plus loin, c’est l’inconnu : pour éviter un très grand détour, nous prenons la piste. Sur la carte,  c’est tout rose : une grande ligne droite nous amènerait dans la Serra de Capivara que j’avais sélectionnée comme point d’intérêt.

Comme cela arrive très souvent dans ces lieux non touristiques les cartes sont fausses et le gps n’a pas les pistes au bon endroit ! la mauvaise piste va de villages en villages mais après deux jours et 600 km, nous arrivons à bon port, non sans avoir à demander notre chemin très souvent. On se croirait en Afrique, les femmes allant chercher l’eau au puits, ainsi que les ânes menés par les hommes (vous remarquerez q’ici, les femmes ne marchent pas derrière les ânes  !!!!),  les maisons en adobe sauf que les toits sont en tuile …. et il y a l’électricité.

L'heure de la vaisselle, il fait 37°
L’heure de la vaisselle, il fait 37°
Troupeau de zebus
Troupeau de zebus

Ceux qui me connaissent bien ont dû deviner pourquoi j’avais choisi de passer par ce parc National ….. et si je vous disais qu’en plus, on n’a même pas fait un détour !!!!

Il y a ici plus de 30 000 peintures rupestres, la plus grande concentration au monde, disent-ils … Ils y ont trouvé des évidences de présence humaine datant de 50 000 ans. Les peintures sont vieilles d’environ 10 000 ans. Il y a 128 sites ouverts au public répartis en 14 circuits, que l’on fait majoritairement en voiture, le parc étant si grand. Nous y passerons une journée.

Nous commençons par la visite du petit mais très bien fait musée de Sao Reimundo. Nous avons la chance d’y rencontrer un paléontologue parlant français qui va tout nous expliquer en détail. De plus, il nous aide à trouver un guide, obligatoire, pour la visite du parc. Ce sera un étudiant en archéologie, parlant français également.

Je vais bien évidemment vous inonder de photos. Les différences notables avec ce que nous connaissons en Afrique, ce sont les scènes de vie de tous les jours avec des groupes de personnes, des scènes de sexe assez expressives. Des scènes de chasse mais au filet ou à la lance sans arc ni flèche, d’ allégresse avec danseurs et équilibristes.

Mais laisse-la moi
Mais laisse-la moi
Il compte les coups
Il compte les coups
Nandous
Nandous
Moutons
Moutons

Il est vrai que la densité des dessins sur les parois est impréssionnantee et, vu le temps sec et chaud, ils sont assez bien conservés. Il est vrai que sans guide, on aurait grimpé aux grottes moins intéressantes et , vu la chaleur, il vaut mieux s’économiser !

Cervidé
Cervidé
Scène de la vie courante
Scène de la vie courante
L'arbre est très vénéré
L’arbre est très vénéré
Acrobates
Acrobates

Pourquoi y-a-t-il alors si peu de visiteurs ? cela est du à son éloignement, au fin fond de l’état de Piauli, à 560 km de la première grande ville. Un seul hôtel correct où nous passerons la nuit car il y a une piscine ! après la marche de la journée, elle est bienvenue.

Ils commencent aussi à goudronner les routes autour et il y a maintenant un nouvel aéroport ….

Mardi 13 octobre nous repartons poursuivre notre longue traversée, continuant notre route vers le nord est, par le goudron cette fois-ci.

Nous passons par la ville de Teresina. Elle est connue pour être la ville la plus chaude du Brésil, et comme on est dans les mois les plus chauds ….. le thermomètre du Mercedes indiquait 40,5° et celui de la cellule affichait « aie » …. A 18h ce soir, la nuit est tombée et il fait encore 35°. On ne cuisine plus à midi, on va dans les « lanchonetes » où on mange pour 5 euros avec deux boissons comprises, et le soir, on cuisine dehors pour laisser la cellule se refroidir. On attend 17h30 pour s’arrêter avec la clim à fond, donc on abat des kilomètres !!!!

Brasilia

Il faut savoir que Brasilia a été construite au milieu de la savane brésilienne, à plus de 1000 km de Rio et à 1100 m d’altitude. J’avais 10 ans lorsque cette ville avait été inaugurée et ce dont on en disait avait frappé mon esprit : une ville à la même altitude que les sommets vosgiens, en plus dans le » désert »  ! Il est vrai que je ne savais pas que je verrais un jour La Paz, à 4000 m …..

Un chantier réalisé en 3 ans grâce à la volonté du président Kubitschek et inaugurée en 1960, seule ville bâtie au XXème siècle.  On reconnaît dans le plan de Brasilia la silhouette d’un avion.  Construite par 60 00 ouvriers dirigés par l’urbaniste Lucio Costa et l’architecte Oscar Niemeyer.

Plan Brasilia
Plan Brasilia

Dans le cockpit, la Place des 3 Pouvoirs :  l’exécutif avec le Palais Présidentiel, le législatif avec le Congrès et le judiciaire avec le Tribunal Fédéral.

Dans le corps de l’avion, les Ministères de part et d’autre d’une immense esplanade, parcourue par deux autoroutes de 6 voies chacune …. Mais aussi de nombreux beaux bâtiments dont le Cathédrale, le Musée National, etc …Les ailes de l’avion abritent les quartiers résidentiels et commerciaux.

Vue du haut de la tour télé
Vue du haut de la tour télé
Le stade
Le stade

 

Nous partons dés huit heures pour la visite car il fait déjà 30° …. Le premier jus d’orange de la journée, au pied de la tour Télé nous laisse quelque surprise ….. (voir photo).

02-elle nous prépare un jus d'orange, c'est tout

Nous parcourons à pied une grande partie de l’axe centrale de la ville, afin de bien nous imprégner de son ambiance.

Manif dans la rue
Manif dans la rue
Le Musée National
Le Musée National

Le Musée National, inauguré pour les 99 ans de Niemeyer, constitue la plus grande coupole au monde jamais construite, en 2006

La Cathédrale, juste à côté, a été achevée en 1971, son plan est circulaire. Sa forme peut être associée à un calice.

La cathédrale
La cathédrale
Intérieur
Intérieur

Le Congrès National a ses bâtiments administratifs dans deux tours verticales en H, ce qui  contraste avec l’horizontalité des autres bâtiments.  L’auditorium du sénat se trouve sous la petite coupole (81 membres), la chambre des députés à l’intérieur de la grande coupole inversée (513 membres). Rassurez-vous, ils ont un toit et fort certainement la climatisation !!

Le congrès national
Le congrès national
Le congrès national
Le congrès national
Les deux chambres
Les deux chambres
Le tribunal suprême
Le tribunal suprême
Le siège du Ministère des affaires étrangères
Le siège du Ministère des affaires étrangères
Le mémorial Kubietschek
Le mémorial Kubietschek

Intérieur église  Dom Bosco

Intérieur église Dom Bosco

C'est pour nous
C’est pour nous

Nous avons bien aimé l’atmosphère de cette ville ; en passant dans la zone commerçante, nous avons trouvé notre Carrefour préféré, c’est quand même là que l’on trouve un peu de vrai fromage, thé et Nescafé comme chez nous, chocolat presque comme chez nous …. Et quelques gâteries car la route qui nous attend va nous emmener dans la pampa pour quelques jours. Vidange avant de partir également, c’est juste le bon moment.